LAMPE ALIYAH
H75 L43 l42
Fer bâtu, parchemin
Fabrication 3 mois
Inspirée des lanternes de l’ère classique, la lampe Aliyah évoque l’ordonnancement architectural d’un lanternon de la Renaissance italienne, autant que la préciosité d’un objet liturgique. Sa matérialité se veut le témoin d’un équilibre subtil, où l’opulence du laiton doré est tempérée par la retenue d’un dessin aux lignes justes. Un parchemin de veau, glissé légèrement en retrait au centre la lampe, donne un grain naturel à la lumière diffuse, parachevant avec simplicité ce geste d’une architecture écrite à la taille de l’objet.
Dans la Bible, le mot Anavah est utilisé pour décrire l’humilité ou encore la douceur. Réalisé en fer battu puis doré à la feuille d’or, le porte cierge du même nom fait le récit d’une flamme qui ne peut s’éteindre. Les billes à la base du socle, ainsi que les ailettes qui surmontent la colonne confèrent à l’objet une grâce géométrique pareille aux lignes des années folles.
Dans la Bible, le mot Anavah est utilisé pour décrire l’humilité ou encore la douceur. Réalisé en fer battu puis doré à la feuille d’or, le porte cierge du même nom fait le récit d’une flamme qui ne peut s’éteindre. Les billes à la base du socle, ainsi que les ailettes qui surmontent la colonne confèrent à l’objet une grâce géométrique pareille aux lignes des années folles.